On m'a pris pour un traître car j'ai sauvé des civils serbes.
Pendant la guerre, tout est permis, on peut tuer gratuitement. Je suis parvenu à y échapper, aucune mère n'a pleuré à cause de mes mains.
La violence est ma dernière option. Aujourd'hui, je peux regarder Jésus droit dans les yeux.»