Ils n'ont pas de droits dans leur propre pays ! Ils ne peuvent pas travailler, n'ont pas d'assurance santé, ils n'ont même pas le droit de prendre un crédit à la banque !
En Serbie, pareil. Où doivent-ils aller alors ? Il n'y a pas de volonté politique de résoudre ces problèmes. Les gens sur les fauteuils changent, mais les problèmes restent.»